Rei Scarlett Story
Kenichiro Kei : Alana, je te fais tant fantasmer ?
A ses mots je sors de mes rêveries et je me sens rougir comme jamais.
Alana : Quoi ? Non, pas du tout. Dis-je gêné.
Kenichiro Kei : Tu peux me le dire.
Alana : Hein, mais vous dires quoi ?
Le bougre, il insiste, mais je ne vais pas lui dire qu'effectivement, j'ai envie de lui arracher sa serviette et me jeter à son coup.
Kenichiro Kei : Je sais que tu en as envie.
Alana : Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Dis-je tout en chuchotant.
Kenichiro Kei : Je veux juste te l'entendre dire. Dit-il tout en s'approchent dangereusement de moi, mon cœur bat la chamade. Je dirais même que s'il continue de s'approcher de moi mon cœur va sortir de ma poitrine.
Il approche sa main de mon visage, d'un geste tendre, il caresse mon visage et me regarde avec des yeux de braise.
Kenichiro Kei : Dit-le moi Alana.
Sa dernière phrase me fait arrêter de respirer, ce que je ressens en cet instant est totalement fou. Jamais je n'aurai crue désiré quelqu'un à ce point sans en avoir vraiment le droit. Parce qu'au final qui me dit qu'il ne joue pas tout simplement avec moi.
Alana : Je n'ai rien à dire.
Kenichiro Kei : Je sais ce que tu désires, mais je veux que tu me le dises.
Alana : Je ne peux pas.
Kenichiro Kei : Pourquoi ?
Alana : Je vous ai vus avec Louisa le soir où nous avons fêté la fin du shooting.
Kenichiro Kei : Ne t'imagine rien de déplacer, bientôt tu comprendras.
Je le regarde perplexe et je ne sais pas vraiment quoi pensé de cette réponse.
Je me mords la lèvre tout en regardant les siennes, j'ai vraiment envie de goûter à ses lèvres sucrées. J'ai l'impression que ma température et monté d'un cran, la chaleur de sa main est tellement douce et chaude. Il approche doucement ses lèves contre les miennes et nous échangeons un baiser remplie de tendresse. Sa main toujours sur mon visage se fait plus ferme pour que je ne puisse pas esquiver son baisé, mais clairement je n'ai plus la force de fuir.
Je m'abandonne totalement à notre échange laissant réellement mes sentiments pour lui prendre le dessus. Je joue à un jeu dangereux avec lui, peut-être que je vais me brûler les ailes, mais finalement, je suis arrivé à un stade où je ne peux plus refouler mes propres sentiments. Je le stoppe dans son élan et dis à voix basse.
Alana : Kei, repoussez-moi, je vous en pris.
Kenichiro Kei : Pourquoi devrais-je te repousser ?
Alana : Parce-que je ne pense pas sortir de cette histoire sans souffrance
Il me regarde, ses prunelles à la limite du brasier des enfers. Je sens que je suis totalement perdu face à cet homme qui fait totalement chavirer mon cœur.
Il m'a regardé sans me repousser ou sans même me rassurer, sa main quitte mon visage pour parcourir mon coup tout en faisant glisser ses doigts dans ma nuque et fini sa course au niveau de mon t-shirt. Il passe ses mains dessous pour toucher ma peau, à son contact, je frissonne. Il retire avec délicatesse et habilité mon haut et il ne cesse pas de me toucher. Me retrouvant en soutien-gorge devant lui, il regarde mon corps.
Il passe sa main dans mes cheveux pour enlever mon élastique, ma chevelure tombe sur mes épaules et caresse mon dos. Il m'embrasse à nouveau puis d'une pluie de baiser, il descend dans mon coup puis termine sa course en passant sa langue sur ma clavicule. C'était tellement bon, que j'en perds mes forces, mes jambes me lâche et il me retient de ses bras musclés. Je lâche ma tête en arrière pour profiter du moindre baiser. Un gémissement sort de ma bouche sans que je ne puisse le contrôler, Kei me sert un peu plus contre lui.
Kenichiro Kei : Alana, si tu ne veux pas aller plus loin avec moi dit le moi toute suite. Parce que si on va plus loin, je ne suis pas sûr de pouvoir me contrôler.
Alana : Je n'ai pas envie que vous vous arrêtiez. Dis-je timidement.
Je ne veux pas qu'il arrête, mon corps est totalement sous son emprise. Je passe mes bras autour de son coup pour lui montrer que je le désire. Nous nous embrassons avec passion, nos baisers sont plus brûlant que la flamme des enfers. Il se relève et détache mon pantalon pour pouvoir me l'enlever, il me regarde une dernière fois pour que je lui donne mon approbation.
Je me trouve totalement nue devant lui qui est toujours entouré de sa serviette. Je le regarde avec passion et je passe mes mains sur son torse. Je frissonne de désir à chaque fois que je sens ses muscles se contracter à mon contact. Je descends mes mains jusqu'à sa taille et je vois son corps frissonner. Je détache sa serviette timidement, il continue de me regarder avec désir et m'envoie un petit sourire satisfait.
Il s'allonge sur moi tout en me tenant le bras, il m'embrasse et passe sa main sur mon corps tout en rejoignant ma zone la plus sensible. Un gémissement violent s'échappe de ma bouche.
Kenichiro Kei : J'aime entendre le son de ta voix. Je veux encore t'entendre, dit-il d'une voix exciter.
À ses mots, ses caresses deviennent plus intenses et ma respiration se saccade. Il m'embrasse et fait couler une cascade de baiser le long de mon corps jusqu'à atteindre ma zone sensible et joue avec sa langue. L'orgasme m'envahit, il remonte content de son effet et attrape mes jambes pour prendre le dessus sur moi. D'un coup de reins il entre en moi et le plaisir m'envahis, un échange de souffle et de gémissement bestial raisonnes dans l'appartement.