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Salut, je m'appelle Alana Scarlett. Je travaille dans une société de pub " Innove Publication " depuis 2 ans, j'ai commencé en tant que débutante autant dire assistante. J'ai travaillé avec les personnes les plus qualifié de cette société.

Je travaille sur un dossier en solo, mon tout premier projet que je mène de A à Z. Je donne vraiment tout ce que j'ai pour accomplir ma mission et rendre notre client heureux. Je travaille sur quelques détails avant notre prochaine réunion avec le client. Mais c'est ce que je croyais.

Eichi Umezawa : Mademoiselle Scarlett,
Alana : Oui Monsieur Umezawa ?
Eichi Umezawa : Est-ce que vous pouvez venir dans mon bureau quelques instants s'il vous plait.
Alana : Heu, oui bien sûr.

À ce moment-là, j'ai un mauvais pressentiment. Je me lève de ma chaise et prends mon courage à deux mains pour suivre mon patron de secteur.

Mon patron se poste devant moi et me regarde avec compassion. Je dois avouer que ça ne me rassure pas du tout.

Eichi Umezawa : Je viens de passer plusieurs minutes avec votre client, mais son choix est définitif.
Alana : De quoi parlez-vous ?
Eichi Umezawa : Je suis sincèrement désolé de vous annoncer ça, mais Monsieur Damson ne vous veut plus sur leur contrat.
Alana : Que .... Quoi ?? Je suis totalement sous le choc, je ne m'attendais pas à ce que le dossier me soit retiré alors que j'y ai mis toute mon âme. Je reste sans voix et surtout avec une absence de réaction.

Eichi Umezawa : Je suis sincèrement désolé pour vous Scarlett. J'ai tout essayé.
Alana : Est-ce que vous savez pourquoi on m'a retiré le dossier ? Je ne sais pas d'où j'ai sortie la force de poser la question et à cet instant, je suis focalisé au moindre mouvement de ses lèvres.
Eichi Umezawa : Je ne sais pas comment vous dire ça.
Alana : Dite-le tout simplement s'il vous plaît.
Eichi Umezawa : D'après son excuse, vous êtes quelqu'un de trop fade pour gérer son dossier.
Alana : Trop .... Fade ??
Eichi Umezawa : Est-ce que ça va ?
Alana : Heu ... Oui. Est-ce que je peux quitter votre bureau ?
Eichi Umezawa : Je vous donne votre journée mademoiselle Scarlett. Rentrez chez vous et revenez demain.
Alana : Merci monsieur.

Oni Saaki : Alana ! Je suis au courant pour le projet de monsieur Damson. C'est vraiment dégueulasse.
Alana : Merci Oni.
Oni Saaki : Tu as entendu les rumeurs ?
Alana : De quoi tu parles ? J'essaie de ne pas perdre la face devant mon collègue, mais je souhaite une seule chose que notre conversation s'arrête là pour aujourd'hui. Je ne suis pas sûr de pouvoir en supporter plus.
Oni Saaki : Le bruit court que c'est le PDG Haruka Kei qui te retire le dossier, car tu serais une femme trop fade.

Je suis sous le choc une seconde fois. Monsieur Umezawa m'informe que c'était le client qui ne me voulait plus sur son dossier et maintenant le bruit court que c'est notre nouveau PDG qui me retire le dossier parce que je suis encore une fois trop '' Fade ".

 

Oni Saaki : Alana, tout va bien ?
Alana : Je suis désolé Oni, Monsieur Umezawa m'a donné ma journée je vais rentrer.
Oni Saaki : Repose-toi bien et ne t'inquiète pas. Tu n'es pas quelqu'un de fade et je trouve cette histoire inacceptable.
Alana : Merci Oni, à demain.

J'ai pris mes jambes à mon coup, j'avais besoin de m'éloigner de mes collègues pour laisser sortir mes émotions. J'ai envie de pleurer et de hurler ma déception. Sans m'en rendre compte, je prends le chemin qui mène chez ma petite sœur.

Quand je ne me sens pas bien, je vais rendre visite à ma petite sœur, elle arrive toujours à me remonter le morale quand les choses vont au plus mal dans ma vie. Je frappe et j'entends les pas de ma petite sœur s'approcher avec sa petite voix joyeuse.

Savannah : J'arrive ! Elle ouvre la porte avec sa petite mine joyeuse. Alana ? Qu'est-ce que tu fais ici en plein milieu de la journée ?

Alana : J'ai été viré de mon projet. Comme une enfant j'annonce mon problème avec de grosses larmes qui coulent le long de mon visage et je tombe dans le bras de ma petite sœur.
Savannah : Entre, ne reste pas devant la porte et tu vas tout m'expliquer devant une tasse de thé.

J'acquiesce de la tête sans pour autant cesser mes larmes, nous entrons dans sa petite maison. Je sais qu'une longue conversion nous attend et elle ne sait pas le pire dans tout ça.

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