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Takashi Awa : Bien ! Je vous ai donc convoqué au sujet du projet Pharmaceutique de Mr Damson.

Louisa Carter : Il y a un problème avec mon projet Mr Awa ? Dit-elle mielleuse.

Takashi Awa : Je ne vous ai pas demandé de parler mademoiselle Carter. Dit-il froidement et Louisa est choquée face à notre PDG sous un air autorité.

Takashi Awa : Mr Damson n'est finalement pas content de votre travail mademoiselle Carter. Le projet de Scarlett était parfait et vos changements ne sont pas à leur goût.

Louisa Carter : Mais ... Quoi ? J'ai légèrement personnalisé la proposition d'Alana. Il ne m'a rien dit à moi.

Takashi Awa : Hé bien vous avez fait le mauvais choix, car maintenant notre client n'est pas du tout satisfait.

Louisa est totalement sous le choc de l'annonce de notre PDG.

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Takashi Awa : Mademoiselle Scarlett, je sais ce que cela peut vous coûter, mais je vous le demande quand même. Accepteriez-vous de reprendre en main votre projet ?

Alana : Mais, Mr Damson ne me veut plus sur son projet de pub.

Takashi Awa : J'ai eu une longue conversation avec Mr Damson et mes découvertes sont plus qu'étonnante. J'ai entendu des rumeurs circuler dans l'entreprise comme quoi, j'aurai viré Scarlett du projet Damson pour son style " Trop classique ". Je ne vous connaissez même pas Scarlett. Je n'ai jamais eu de tel propos. Je suis le PDG de cette entreprise et je ne juge pas mes employées par leur physique où par leur style vestimentaire. Suite à une conversation que j'ai eue avec l'une de mes employées le soir de mon discours, m'a fait réaliser quelque chose, un élément dans ma société peut détruire le travail propre et honnête des gens qui donnent corps est âme sur leur projet.

Kenichiro Kei : De là, après avoir entendu les rumeurs Mr Awa et moi-même avons mis au point une petite enquête pour comprendre pourquoi Mr Damson a changé d'avis.

Louisa Carter : Mr Kei ! Alors, vous m'avez raccompagné et étiez adorable avec moi juste pour mener votre enquête ? Dit-elle au bord des larmes.

Kenichiro Kei : Je ne vous ai rien promis mademoiselle Carter. Je vous ai raccompagné un soir où vous aviez trop bu et malheureusement pour vous quand vous buvez vous parler beaucoup trop. Vous avez clairement une dent contre mademoiselle Scarlett. Louisa se lève brutalement les larmes aux yeux prête à quitter la salle de réunion.

Takashi Awa : Nous n'avons pas terminé mademoiselle Carter. Vous avez monté un coup contre mademoiselle Scarlett pour hériter du dossier Damson. Vous vous rendez bien compte que je vais devoir prendre des mesures contre vous.

Louisa Carter : Oui monsieur. Dit-elle d'une voix tremblante.

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Takashi Awa : Scarlett, après avoir beaucoup discuté avec mon secrétaire nous avons déduit que c'était à vous de décider du sors de Carter.

Alana : Que .. . Quoi ? Comment .... Pourquoi moi ?

Takashi Awa : Vous avez été la victime de cette histoire et sans tout ça le projet serait déjà terminé. Vous en avez beaucoup souffert alors que décidez-vous ? Je suis carrément sur le cul, je ne veux pas détruire la carrière d'une collègue même si elle ne m'aime pas pour une raison que j'ignore totalement. Je ne peux pas réellement décider, je suis dans un dilemme que je n'aurai jamais imaginé.

Alana : Je ne veux pas que Louisa soit virée Mr Awa.

Takashi Awa : Bien, dans ce cas Carter sera transféré en secrétariat. Je vais vous envoyer un e-mail pour vous donner les prochains rendez-vous avec l'équipe de Mr Damson. Les choses vont aller très vite, je vous préviens, car nous sommes à la limite du retard.

Alana : Bien Mr, je vais me mettre au travail tout de suite.

Takashi Awa : Bien, vous pouvez retourner au travail. Carter, je vous demanderai de mettre en place la distribution de vos dossiers en cours à vos collègues, Mr Kei prendra quelques dossiers sous son aile. Demain vous serez au service secrétariat.

Louisa Carter : Bien Mr Awa.

Louisa sort de la salle de réunion les larmes aux yeux, je la suis de prêt et j'essaie de la rattraper. Il faut qu'on parle de toute cette histoire.

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Alana : Louisa attend. Dis-je tout en la tenant par le bras. Elle se retourne brutalement face à moi.

Louisa Carter : Lâche-moi Alana, tu as les patrons dans la poche et Kei dans ton lit. Tu reprends le dossier Damson est en plus on te laisse le loisir de choisir ma sanction. Tu veux quoi de plus ? Mes fringues ? Mon appart ? Mon salaire ?

Alana : Pourquoi tu me détestes à ce point ? Je ne t'ai jamais rien fait.

Louisa Carter : Si tu fais chier Alana, mademoiselle parfaite. Tout le monde te donnerait le bon dieu sans confession. Tout te tombe facilement entre les mains alors que moi, je donne tout ce que j'ai pour avoir le meilleur.

Alana : Tu dis n'importe quoi, je me donne corps est âme pour mener à bien mes projets.

Louisa Carter : Tu parle, tout le monde te viens en aide. Tu as déjà réalisé quelque chose sans avoir l'aide de Mr Umezawa, Oni où même Mr Kei ? D'ailleurs, il faudrait me dire comment tu as fait pour te taper Kei.

Alana : Je n'ai rien fait, je suis simplement moi et je fais mon travail. Arrête de jouer avec ton physique et travail dur comme tout le monde.

Louisa change totalement d'expression après que je lui aie craché mes vérités en face. Je m'en veux, je suis allé trop loin de mes paroles ont dépassé mes pensées. En réalité non, mais je n'aurais jamais dû lui parler comme ça.

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Je tenais toujours fermement Louisa pendant notre dispute. Dans un hélant de colère, elle balance violemment son bras et je bascule dans les escaliers. Je dégringole les marches les unes après les autres, la douleur m'envahis à chaque impact jusqu'à ce que je finisse par m'écraser. Mes yeux ne veulent pas s'ouvrir et mon corps est totalement endormi. Au loin, j'entends des voix, mais je n'arrive pas à distinguer la voix et les paroles jusqu'à ce que je tombe dans un total trouent noir.

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Je finis par me réveiller et je comprends vite que je ne suis pas chez moi. L'odeur me met la puce à l'oreille et je comprends que je suis dans une chambre d'hôpital. Ma vision est encore floue et mon esprit brouiller. Je ferme les yeux pour essayer de remettre mes idées en place et je me souviens de la raison de ma présence à l'hôpital.

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Soudain, une voix me sort de mes pensées.

Kenichiro Kei : Alana ! Dit-il d'une voix douce, mais remplie d'inquiétude.

Alana : Kei !

Kenichiro Kei : Tu seras puni pour m'avoir appelé par mon nom de famille. Dit-il tout en lâchant un petit rire de soulagement.

Alana : Désoler. Dis-je avec un petit sourire, mais les douleurs me font grimacer.

Kenichiro Kei : Tu as mal ? J'ai appelé le médecin quand j'ai vu que tu ouvrais les yeux.

Alana : Merci.

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Le médecin : Mademoiselle Scarlett, je suis le docteur Rodriguez. Mr, vous êtes de la famille ?

Kenichiro kei : Je .. Je coupe Kenichiro dans sa réponse.

Alana : Il peut rester, il est quelqu'un de proche.

Enrique Rodrigues : D'accord. Donc, votre chute dans les escaliers à causer des hématomes, mais par chance vous n'avez rien de casser. Nous allons tout de même vous garder en observation cette nuit en cas d'un traumatisme crânien. Je vais vous donner des calmants pour les douleurs et je passerai demain pour une ordonnance et votre autorisation de sortie.

Alana : Merci docteur, quand pourrais-je quitter l'hôpital demain ?

Enrique Rodrigues : Je dirais fin d'après-midi.

Alana : Merci.

Enrique Rodrigues : Bien, je vous dis a demain reposez-vous.

Kenichiro Kei : Merci docteur.

Le médecin nous laisse seul et kei s'approche de moi.

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Kenichiro s'approche de moi et me regarde tendrement.

Kenichiro Kei : Je peux ? Il me regarde et me fait comprendre qu'il veut s'installer à mes côtés, je me décale et l'invite à me rejoindre.

Kenichiro Kei : Je viendrais te chercher demain après-midi.

Alana : Tu n'es pas obligé, je peux demander à ma sœur de venir.

Kenichiro Kei : J'en ai envie. Tout en me disant ça il m'enlace doucement tout en prenant soin de ne pas me faire mal. Je finis par m'endormir dans ses bras.

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Plus tard dans l'après-midi quelqu'un frappe à la porte et je l'invite à entrer.

Savannah : Alana, qu'est-ce qui t'es arrivées. Dit-elle paniquer. Erine m'a appelé pour me prévenir et l'hôpital m'a téléphoné aussi.

Alana : Je vais bien ne t'inquiète pas.

Savannah : Bonjour, je suis la petite sœur d'Alana. Dit-elle tout en se tournant face a Kenichiro.

Kenichiro Kei : Enchanter, je suis Kenichiro Kei. Alana, je vais vous laisser. Je passe te prendre demain après-midi pour ta sortie.

Alana : Merci.

Savannah : Vous pouvez rester.

Kenichiro Kei : Non, j'ai du travail. Prenez bien soin d'elle. Au revoir.

Savannah : A bientôt. Dit-elle tout en le regardant quitter la chambre avec un sourire qui annonce un questionnaire digne d'un agent du F.B.I. 

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Savannah : Dit-donc frangine, est-ce le Mr Kei de ton entreprise ? Le mec super canon que vous m'avez parlé à notre dernière soirée ?

Alana : C'est lui-même.

Savannah : Mais pourquoi il était là ? Et surtout, pourquoi il est aussi familier avec toi ?

Alana : Je crois qu'on a beaucoup de choses à se dire.

Savannah : Oui, je veux tout savoir, mais avant comment est-ce que tu te sens ?

Alana : Ca fait partie de l'histoire.

Ma petite sœur s'installe et me regarde avec sérieux. Je commence à lui raconter mes derniers rapprochements avec Kei. Une longue conversation entre filles commence et je dois avouer que de vider mon sac au prêt de ma sœur me fait un bien fou. Dans ma vie Ma sœur et ma meilleure amie son importante pour moi, elles ont toujours été là pour moi elles sont une partie de moi et Kenichiro prend une autre partie de ma vie sans que je puisse le contrôler.

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Le lendemain, la journée passe vite et le médecin vient enfin m'apporter mon autorisation de sortie ainsi que mon ordonnance pour les anti-douleurs. Kenichiro est arrivé et m'a raccompagné chez moi, il m'a accueilli avec petit bouquet de fleurs. Une fois dans mon lit, il voulait partir, mais je n'avais pas envie qu'il me laisse seul. C'était le début du week-end et je ne voulais pas qu'il parte, je lui ai demandé de rester avec mes yeux de chien battu et j'ai gagné la bataille. Je n'ai pas d'arrêt de travail, mais j'ai le week-end pour me reposer et me faire dorloter par mon sexy est magnifique supérieur.

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