Rei Scarlett Story
Dark Forest
Chapitre 2
L'homme m'a dirigé dans la salle de bain, j'entends l'eau couler et une odeur de rose se diffuse dans la pièce. Je reste figé là où il m'a laissé, je sens sa présence derrière moi, une sueur froide parcours le long de mon dos, j'en ai des frissons de terreur.
L'homme : Bien, je vais découper tes vêtements, tu n'en auras plus besoin maintenant. J'ai refait ta garde-robe. Je ne vais pas te détacher les mains et tu vas encore garder le bandeau sur tes yeux.
Vicky : Pourquoi ?
L'homme : Tu n'es pas prête. Puis autant que ce moment d'intimité soit encore plus mystérieux. Ne pas savoir quelle partie de ton corps je vais toucher ni à quel moment je vais le toucher est plus excitant.
Vicky : S'il vous plaît ! Dis-je a voix basse et les sanglots au bord des lèvres.
L'homme : Je te l'ai déjà dit Vicky, je ne vais pas te faire de mal.
Je ne peux m'empêcher d'avoir peur et d'avoir envie de pleurer, je sens les larmes au bord des yeux et mon cœur qui commence à taper comme un fou comme pour m'avertir d'un danger. L'entendre prononcer mon prénom me dégoûte au plus profond.
Le moment vient où il découpe mon haut, puis mon soutien-gorge. Il découpe le bas puis vient au tour de mon boxer. Je suis totalement mise à nue et je ne peux rien dire, si je réagis, il me le fera payer alors je prends sur moi et je retiens mes sanglots qui menacent de sortir. En ce qui concerne mes larmes, je ne peux les contenir. La peur et la honte sont plus fortes que moi.
L'homme : Ne pleure pas, je t'assure que tu vas finir pas aimé nos petits rituels.
Je l'entends inspirer dans ma nuque, des frissons douloureux me pique la peau, mais lui prends sa comme de l'excitation.
L'homme : Me sentir près de toi te fait tant d'effet ? Ta peau frissonne ... Hummm, tu sens si bon. Et tu es tellement belle.
Je sens le bout de ses doigts passé sur mon bras, puis il passe sur ma clavicule pour passer ensuite entre mes seins. Ma peau frissonne malgré moi, mais de terreur.
L'homme : Voilà quelques heures que tu es chez nous et tu me rends déjà fou. Ton corps m'appelle et me désire.
Vicky : Non ! Dis-je à voix basse.
L'homme : Tu es sûr ? Il me montre le contraire.
Pour me faire comprendre de quoi il parle, il passe le bout de ses doigts sur mon téton qui se met à durcir à son contact. À cet instant même, je déteste les réactions de mon corps, je ne ressens aucun désir ni aucune pulsion sexuelle envers cet homme et pourtant, je suis trahi par moi-même.
Il continue de jouer avec mon téton quelques secondes puis il s'arrête.
L'homme : Aller, lève ta jambe pour entrer dans le bain.
Je m'exécute, il me dirige pour que je ne tombe pas puis je m'installe dans le bain. Il me lâche et je l'entends s'éloigner de la baignoire. Un bruit de boucle de ceinture se fait entendre, j'attends et j'analyse le moindre bruit.
Je l'entends s'approcher de moi et plonger sa main dans l'eau. Il passe ses doigts sur mon pied puis remonte le long de ma jambe tout en s'arrêtant non loin de mon intimité. J'essaie de garder mon calme, du moins en extérieur, mais, a l'intérieur de moi, je hurle en espérant que quelqu'un me vienne en aide. Il détache les liens autour de mes poignets et j'avoue que ça fait un bien fou.
Je le sens hésitant et un bruit curieux se fait entendre. J'essaie de comprendre ce qu'il fait, mais je ne comprends pas. Il a laissé sa main où elle s'était arrêté et sa respiration commence à se faire entendre. Je comprends et la panique me ronge une fois encore. Il finit par attraper ma main pour la diriger sur son intimité dure comme de la pierre. J'ai envie de vomir à ce contact, mais encore une fois, je n'ai pas le choix.
Il serre ma main autour de lui et commence à faire des vas et viens calmement, puis un peu plus vite. Je le sens fébrile et il attrape l'un de mes seins et joue avec mon téton. Il resserre encore ma prise et me fait comprendre d'aller encore plus vite. Je m'exécute en espérant qu'il ne me fera rien de plus. J'entends qu'il prend sérieusement son pied, il lâche ma main pour que je gère le mouvement seul et il attrape mon 2e sein pour prendre un peu plus de plaisir.
L'homme : Vas-y ne t'arrête pas ma déesse, plus vite .... Il lâche un soupir bestial et un orgasme se fait entendre. Je sens un liquide sur ma main qui me donne la nausée. Il relâche mes seins et soupir de satisfaction.
L'homme : C'était encore meilleur que je ne l'avais imaginé. Mais je suis frustré d'avoir eu qu'un amuse-bouche. C'est déjà bien pour notre première soirée. Je vais te laver maintenant.
Il glisse sa main dans mon dos, le savon froid sur ma peau me fait faire un petit bond dans le bain.
Il commence avec des mouvements doux, puis remet du savon sur les mains pour ensuite savonner ma poitrine. Il en profite pour les malaxer à mainte reprise. Il laisse glisser ses mains sur mon ventre pour savonner une jambe après l'autre. Et vient le moment le plus redouté, il passe une main sur mes fesses après m'avoir demandé de me mettre à genoux. Il introduit sa main entre mes fesses sans être plus indécent enfin, c'est ce que j'ai cru jusqu'à ce qu'il arrive à mon intimité. Il passe sa main en surface avec très exactement 4 aller et retour, puis il introduit ses doigts entre mes lèvres et fait connaissance avec ma partie la plus sensible. Je ne ressens aucun plaisir au contraire, pour moi, les mouvements se font douloureux et mon manque de réaction l'agace.
L'homme : Bien, tu dois être stressé. Sort du bain, je vais te mettre sur le lit pendant que je prends une douche.
Vicky :…
Il m'a enroulé dans une serviette chaude et m'a allongé sur le lit, je sais que je suis enfin seul quand l'eau de la douche se met à couler.
Je me mets en boule sur le lit et je me permets quelques instants de faiblesse à pleurer comme une enfant que je suis après ce que je viens de vivre en seulement quelques heures. Malheureusement ce moment est trop court, quand l'eau se coupe, j'essaie de reprendre mes esprits.
Après ça, nous sommes passés à table dans le plus grand des silences. Seul le bruit des crépitements du feu de cheminer se fait entendre. Je ne sais pas quelle heure, il est. Je ne sais pas où je suis ni à quoi ressemble le lieu où je suis prisonnière.
Il a tout rangé et nettoyé après notre repas, il m'a demandé de me lever de ma chaise pour qu'on puisse aller se coucher.
Je me lève et il me dirige encore une fois, il arrache ma serviette et m'ordonne de m'allonger. Il me rejoint dans le lit, je n'ose pas bouger d'avantage de peur qu'il profite encore une fois de moi, mais en quelques secondes sa respiration se fait calme et régulière. Il dort, je peux encore une fois lâcher la pression sans pour autant baisser ma garde. Je vais devoir être forte jusqu'à ce que quelqu'un me retrouve et me sortent de là. Je réfléchis à mon sauvetage et sans crier garde je finis par m'endormir.
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